Le responsable du SNEC-IST à lors d’une conférence tenue il y’a quelques jours dénoncer les mauvaises conditions d’apprentissage et de travail auxquelles sont confrontés les enseignants et les étudiants de cet établissement supérieur.
Il y’a de cela plusieurs mois une jeune femme apprenant à l’IST se serait blessée au niveau de la tête à cause de l’état de décrépitude dudit établissement. Face à cette tragédie, les étudiants et le personnel de l’IST ont été déplacés à Bikélé cité des mines. Sauf que depuis cette délocalisation, les conditions d’apprentissages et d’enseignements sont difficiles et mettent en péril la qualité de l’éducation offerte. C’est du moins ce qui a été dénoncer par le président du bureau du Syndicat national des enseignants chercheurs, section de l’Institut supérieur de technologie (SNEC-IST), Hugues Maganga lors d’une conférence de presse animé à Bikélé.
« Nous regrettons que la délocalisation de l’IST à Bikélé dans un site inapproprié n’ait pas permis de résoudre les problèmes auxquels l’établissement était confronté à Oloumi » ,
a-t-il déclaré.
L’’absence de lieu d’aisance, d’eau courante, qui oblige les étudiants et les enseignants à se soulager dans la forêt, s’exposant ainsi à des risques sanitaires, l’absence de restaurant universitaire, de salle informatique, d’infirmerie et de bureaux ainsi que la faible puissance du réseau électrique et l’inexistence de solution de transport sont autant de difficultés auxquelles font face les étudiants et les enseignants.L’insuffisance des bourses et le non-paiement des vacations aggravent cette situation, à l’origine des absences régulières. À ce lot de problèmes s’ajoute également l’effectif des salles de classe qui est surpeuplées.
Pour donc mettre un terme à cette situation, les enseignants et les étudiants de l’IST comptent désormais sur le président de la transition le Général Brice Clotaire Oligui Nguema.
J.A
reflexeinfos
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