INSOLITE À OYEM : Un Homme Déclaré Mort se Réveille dans les Glaçons de Gabosep

La nouvelle a laissé toute la communauté d’Oyem en émoi. Ce qui devait être un drame familial s’est transformé en un récit des plus insolites. Un homme, déclaré mort à l’hôpital canadien d’Oyem, s’est réveillé deux jours plus tard dans les glaçons de la morgue de Gabosep, provoquant une véritable onde de choc.

Le vendredi dernier, M. X qui a demandé l’anonymat, un quinquagénaire bien connu dans le quartier akoukam, avait été admis à l’hôpital canadien d’Oyem suite à un malaise. Malgré les efforts des médecins, il a été déclaré mort dans la soirée, causant une profonde tristesse parmi ses proches. Selon les rapports médicaux, aucune activité vitale n’avait été détectée, et le certificat de décès avait été signé peu de temps après.

Son corps a ensuite été transféré à la morgue de Gabosep, un établissement où sont conservés les corps avant les obsèques. C’est ici que l’histoire a pris une tournure invraisemblable.

Le dimanche matin, soit deux jours après le décès présumé, un employé de la morgue procédait à sa routine habituelle lorsque, à sa grande stupéfaction, il entendit un bruit provenant de la chambre froide où reposait le corps de Monsieur . Pensant à une hallucination, il approcha prudemment, mais ce qu’il découvrit le laissa sans voix : l’homme, censé être mort, était en train de bouger et de reprendre ses esprits, glacé mais bien vivant.

Alertés en urgence, les médecins et infirmiers de la morgue ont immédiatement pris en charge M. X, le réchauffant et s’assurant de sa réanimation complète. Miraculeusement, il ne présentait aucun signe de dommage irréversible, bien qu’il soit encore très faible.

La famille, contactée peu après, a d’abord cru à une mauvaise plaisanterie. Mais une fois sur place, ils ont été témoins du miracle. « Nous ne savons pas ce qui s’est passé, mais nous remercions le ciel de nous avoir rendu notre fils», a déclaré un membre de la famille, encore sous le choc.

Les autorités médicales ont ouvert une enquête pour comprendre comment une telle erreur a pu se produire. Certains évoquent un possible état de mort apparente, une condition extrêmement rare où le corps semble cliniquement mort alors que les fonctions vitales sont simplement ralenties à un niveau imperceptible. D’autres se demandent si une erreur médicale n’aurait pas été commise lors du diagnostic initial.

Pour l’heure, M. Jérôme se remet lentement de cette expérience hors du commun, et toute la communauté reste suspendue à l’évolution de son état de santé.

Cet événement extraordinaire restera sans doute gravé dans les annales de la ville d’Oyem, rappelant que parfois, la frontière entre la vie et la mort est plus mince qu’on ne le pense.

source: La UNE Woleuntemoise