La ministre des Affaires sociales sociales et des Droits de la femme, Prisca Koho Nlend a animé, ce mardi 13 juillet 2021, un atelier d’échanges sur la question de l’engagement des femmes en de politique avec des femmes issues de différents partis politiques. Il était question pour le membre du gouvernement d’entretenir les femmes sur la notion du mentorat qui vise à promouvoir la question politique auprès des jeunes femmes.
C’est en présence du ministre de la Justice, garde des Sceaux et chargée des Droits de l’Homme, Erlyne Antonella Ndembet épouse Damas que le ministre des Droits de la femme a procédé à l’ouverture de ce programme de mentoring pour les jeunes femmes qui s’inscrit dans le cadre de la stratégie Gabon-Égalité initiée par le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba.
En effet, celui-ci vise à « inciter les jeunes femmes gabonaises à s’engager en politique en vue d’augmenter leur représentation publique dans la sphère décisionnelle ». « Il existe une loi liée aux quotas qui participe donc sur la loi des 30% qui permet aux femmes d’accéder au milieu politique, mais également aux emplois supérieurs de l’État. Mais cette loi là, est-ce qu’elle est véritablement maîtrisée par toutes les jeunes femmes? », s’est interrogée Prisca Koho Nlend, ministre chargée des Droits de la femme.
Selon la stratégie mise en place par le gouvernement, cette première démarche a consisté à rencontrer les femmes, les futures mentors désignés par les différents responsables politiques notamment par le conseil national de la démocratie. Lequel regorge en son sein un plus grand nombre des partis politiques au Gabon. Si de prime abord près de 100 jeunes femmes issues des universités seront choisies pour bénéficier de ce programme, de façon plus large, il devrait s’étendre aux femmes de la société civile qui manifesteront la volonté de se faire coacher par le ministère des Droits de la femme.
L’intérêt de ce programme est de susciter une prise de conscience individuelle chez les jeunes femmes afin de miser davantage sur la promotion de leurs droits et de leur donner les rudiments nécessaires pour faire face à un milieu politique qui ne fait pas de distinction de genre. « La politique est une école, et cette école doit être accordée à ces jeunes dames pour leur permettre de savoir comment faire face à ce monde souvent agressif », a précisé le ministre des Affaires sociales et des Droits de la femme.
source:Gabon media time
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