L’Église Évangélique du Gabon (EEG): « Rev PAUL FRANCIS ONVANE L’urgence d’un bâtisseur!! »

À part quelques fondations religieuses posées par des pionniers dont la plupart sont retournés au Père pour le repos éternel et quelques uns encore en vie, l’EEG n’a plus connu de modifications dans le domaine de l’urbanisme et de l’architecture depuis ces époques de gloire. Au contraire, une caste de Loups Blancs ressemblant étrangement aux agneaux se seraient accaparé de cette belle église.

Les résultats aujourd’hui visibles en disent long : une Église au bout du gouffre causé par des scandales financiers et bien encore….. Des pillages qui justifient les gros investissements et moyens de certains anciens présidents de l’Église Évangélique du Gabon.
Situation qui vont retarder son développement, si bien qu’à la fin du mandat en cours (2022) la nécessité se fait sentir d’un remodelage complet de L’EEG.

Par comparaison avec les autres grandes congrégations réligieuses l’EVANGAP apparaît comme une cité hors d’âge et constituée au fil du temps, sans plan d’urbanisme ni volonté d’harmonisation du cadre monumental.

C’est pourquoi, le Rev Paul Francis ONVANE, candidat à la présidence de l’Église Évangélique du Gabon invite les autres candidats à sortir des simples calomnies et autres jugements injurieux qui semblent à ce jour être leur arguments de campagne.

À son actif, nous avons pu relever du Rev Paul Francis ONVANE des succès à poursuivre :

• La réfection du monument de la paroisse de MOMO à Minvoul
• Dans la région synodale du woleu-Ntem, un montant de 2.200.000 versé pour la construction de la Maison de la femme de l’UCEFEG.
• Les travaux de réhabilitation du temple de Minvoul qui risquait un effondrement.
• Agrandissement du temple d’AKOK avec un don de 1.200 parpins. Pour ne citer que ça.

Pendant ce temps, certains candidats attendent les subventions. Aillons le courage de donner à César ce qui est à César et à l’EEG le Rev Paul Francis ONVANE.

Ce qui évitera le déséquilibre entre la nouvelle donne qu’il prône et les traditionnels dérapages connus.

La rédaction