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INTRANTS AGRICOLES : UN CASSE TÊTE POUR LES AGRICULTEURS

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Les intrants agricole étant difficile à obtenir au Gabon, les agriculteurs ont du mal à produire.

Le Gabon souhaite à l’horizon 2025 produire localement plus de 50% de la consommation alimentaire du pays.Ce qui lui permettra d’accroitre la part de l’agriculture dans le produit intérieur brut du pays.Sauf que pour atteindre cette objectif,les agriculteurs sont appelés à produire plus. Mais saviez vous que les agriculteurs sont confrontés à de nombreuses difficultés qui compromettent d’ailleurs leur capacité à augmenter leurs productions ?
Alors que les autorités gabonaises s’efforcent à satisfaire tous les besoins alimentaires par la production nationale, la disponibilité des intrants agricoles tels que les engrais et les semences relève d’une véritable problématiques.

L’obtention des intrants agricoles complique le travail des agriculteurs

Selons les agriculteurs, pour faire venir des intrants de l’etranger, la procédure est très longue car les produits doivent normalement passer par un laboratoire, qui procède à un examen avant de rendre les résultats quelques semaines après.Cette manière de faire freine non seulement le travail des agriculteurs et freine aussi l’augmentation de la production locale qui est éssentielle pour répondre aux besoins alimentaires dans le pays.

Les intrants agricoles parfois disponible sans vérification

Parfois ces ressources sont souvent disponibles sans vérification ce qui augmente les risque de transmission de maladies comme la mosaïque du manioc qui ravage actuellement les cultures.L’utilisation d’intrants agricoles sans vérification peut être à l’origine de maladies. Il est crucial de s’assurer de la qualité et de la provenance des intrants agricoles pour éviter les risques pour la santé et l’environnement. Cela souligne l’importance de promouvoir des pratiques agricoles durables et sûres pour protéger la santé publique et l’écosystème.

Pour améliorer la productivité,Les agriculteurs attendent donc des mesures concrètes venant donc des plus hautes autorités.
Ce secteur c’est un rappel représente actuellement moins de 10% du PIB.

La rédaction

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